A mi-chemin entre le punk rock et le hard rock, Billy Idol, est happé très jeune par le mouvement punk qui naît en Angleterre au milieu des années 70. A tout juste vingt ans, Billy Idol rejoint le groupe Bromley Contingent, formé de Siouxie Sioux - future chanteuse des Siouxsie and the Banshees - Steve Severin, Tony James et quelques autres membres, tous fans acharnés des Sex Pistols et qui suivaient le groupe londonien dans tous ses déplacements. Chacun voulant former son propre groupe, Bromley Contingent se dissout et Billy Idol monte Generation X avec Tony James, du nom de toute une génération sacrifiée, sans identité, confrontée à la crise des années 80. Le groupe se sépare en 1981 et Billy Idol part pour New York où il entame une carrière solo, d'abord avec 'Hot In The City', puis avec un album éponyme dont un titre, 'White Wedding', rencontre un immense succès. Son look de punk blond platine entièrement vêtu de cuir noir séduit les foules, ses albums s'enchaînent d'une année sur l'autre, assurant son succès jusqu'en 1993 où son 'Cyberpunk' est accueilli dans l'indifférence générale. Négociant avec difficulté le virage techno des années 90 alors en plein essor, Billy Idol connaît une période ombrageuse qui va durer plus de dix ans. En 2005, l'enfant terrible retrouve une seconde jeunesse avec un nouvel album, 'Devil' s Playground' suivi en 2006 de 'Happy Holidays'.
Billy Idol fait une brève apparition au cinéma en 1990 dans 'The Doors', d'Oliver Stone, puis en 1998 dans 'Wedding Singer', de Frank Coraci.
Billy Idol fait une brève apparition au cinéma en 1990 dans 'The Doors', d'Oliver Stone, puis en 1998 dans 'Wedding Singer', de Frank Coraci.
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